Maurice Rocher a eu deux vies qu'il a volontairement cloisonnées. L'une chrétienne et permekienne dans les cinquante premières années de sa vie; l'autre, fiévreuse, tourmentée et féconde les vingt-cinq dernières années, jusqu’à sa mort à soixante-seize ans, pendant laquelle il peint sans relâche et accumule toiles, gouaches et lavis au dessin fort, à la composition hardie et aux couleurs travaillées. Prix de la jeune peinture en 1952, il n'a jamais été complètement reconnu de son vivant, malgré plusieurs expositions et hommages. Il est l'un des rares expressionnistes français de la seconde moitié du XXème siècle Ce site veut montrer ses œuvres, expliquer les circonstances qui l'ont amené à peindre - même si l'analyse de sa peinture reste encore largement à faire. Il vous invite à partager vos connaissances et à y découvrir celles des autres au fil des liens et des références. | 
