" Ce soir encore j'ai mis mes suppliciés côte-à-côte au fond de l'atelier. Je le fais souvent et je les retrouve à chaque fois comme autant de compagnons... Ces miroirs où je reconnais mon interrogation... "
(Journal de Maurice Rocher, 12 juin 1986)
" Ce soir encore j'ai mis mes suppliciés côte-à-côte au fond de l'atelier. Je le fais souvent et je les retrouve à chaque fois comme autant de compagnons... Ces miroirs où je reconnais mon interrogation... "
(Journal de Maurice Rocher, 12 juin 1986)