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Sélection
Entretiens avec Maurice Rocher, Nathalie Cottin, Editions Altamira, Paris 1994
Beaucoup d'éléments sur la biographie de Maurice Rocher, sur l'évolution de sa peinture. Ce livre est sans doute la meilleure clé pour comprendre l'œuvre de Maurice Rocher.
Maurice Rocher, Peintures 1986-1993, Nathalie Cottin, Editions Altamira, Paris 1994 (80 reproductions couleurs).
Près d'une centaine de reproductions de toiles, principalement sur les derniers couples et les suppliciés.
Maurice Rocher, Gérard Xuriguera, Editions Mayer, Paris 1987, (200 reproductions)
Présentation très complète de l’œuvre de Maurice Rocher de ses débuts à 1986.
Ouvrages
Maurice Rocher, Peintures 1986-1993, textes de Nathalie Cottin, Éditions Altamira, Paris 1994, 80 reproductions couleurs.
Entretiens avec Maurice Rocher, Nathalie Cottin, Éditions Altamira, Paris 1994
De l'expressionnisme en peinture, Maurice Rocher, Éditions Séquence, Rezé 1991
Journal 1945-1983, Maurice Rocher, Éditions Siloé, Laval 1990
Maurice Rocher, Gérard Xuriguera, Éditions Mayer, Paris 1987, 200 reproductions
Maurice Rocher, Femmes et Notables, textes de Jean Lemanceau, Gérard Xuriguera, Jean-Marie Dunoyer, Éditions Art Moderne, Paris 1983, reproductions noir et blanc.
Journal, extraits Maurice Rocher, Centre international de l'Hospitalet, Barèges 1981
Maurice Rocher, Gérard Xuriguera, Éditions Art Moderne, Paris 1979
Notices dans dictionnaires
Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, Jean-Pierre Delarge,Paris, éd. Gründ, 2001, notice sur Maurice Rocher, p. 1073
ROCHER, Maurice, né le 1er août 1918 à Evron, Mayenne, France ; 1934-1936 Arts Appliqués du Mans ; 1936-1939 : Atelier d’Art sacré de Maurice Denis ; 1946-1952, enseigne aux Ateliers puis au Centre d’Art Sacré ; 1949-1950, 1952 pensionnaire de la Casa Velasquez ; 19995 meurt le 12 juillet à Versailles. Peintre.
Alors que la plupart se vouent à l’abstrait, il débute de manière académique, puis, à compter du milieu des années 50, peint en sobre figuration, terre de Sienne, des Crucifixions, des Christs au tombeau ; il ne refuse pas le modelé elliptique, dans l’héritage de l’art nègre. A la fin des années 50, il se dirige vers l’informalité, traitant de femmes enceintes, oiseaux de proie, églises vacillantes ou détruites (il en peint 130 entre 1957 et 1981). Il silhouette dans un jeu de taches délayées, de peinture plumée, grise fondue dans le noir avec une touche de carmin. Puis viennent, de 1968 à 1970, les « gens bien », académiciens aux verdures, anciens combattants aux médailles, ou simplement « salauds » sartriens dont les rougeurs apoplectiques des visages déformés se détachent sur fond noir. Un pas encore, il est en 1993 et 1994, proche des Otages de Fautrier avec, dans le nuage mince lie-de-vin et noir mêlés, l’effacement d’une figure. Il est aussi auteur de cartons de vitraux. Pendant près d’un demi-siècle il aura été peintre sacré.
L’École de Paris 1945-1965, dictionnaire des peintres, Lydia Harambourg, Éditions Idées et Calendes, Neuchâtel, 1993
Catalogues monographiques
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Articles de presse
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