" Cette jouissance de peindre me délivre. Quand je peins c’est une délivrance qui s’accompagne de la jouissance de posséder quelque chose, une maîtrise du geste, peut-être… Il y a une espèce de pulsion dans l’acte de peindre, dans la juxtaposition des tons, dans la matière, qui est charnelle. Il y a aussi quelque chose d’érotique. Tant que je pourrai peindre, je n’ai pas envie de mourir. "
(Entretiens avec Maurice Rocher, Nathalie Cottin, Editions Altamira, Paris 1994)