"... j'ai toujours été accordé à la tauromachie. Cela fait partie des premières choses que je suis allé voir. A part Manolete mort en 1947, j'ai vu tous les grands toreros de l'époque. Ordones, Ortega... Ce pays a été une confirmation de ce que j'étais, de ce que je pressentais dans ma vie. Je me suis toujours senti proche des espagnols, jamais des français ... Ce qui m'attire chez eux, c'est la passion, à travers l'amour, la beauté. La tauromachie, c'est la beauté au prix de la mort ..."
(Entretiens avec Maurice Rocher, Nathalie Cottin, Editions Altamira, Paris 1994)
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