Je devenais enfin peintre, un peintre libre et révolté, avec quelque chose à dire, cette révolte douloureuse par rapport au monde, à ma vie, à moi-même. Cette expérience a été le catalyseur, la clé qui m'ouvrait la porte et m'a donné le champ libre à toutes les expériences. Je me suis livré à la peinture. Je ne peux pas dire que je suis entré en religion picturale. J'y étais déjà. Je m'étonne des toiles que j'ai réalisées à cette époque-là, certaines sont très dures.